Ça m'a rappelé mes moments solitaires, sur le chemin en 2009. Le gros avantage, quand on marche seul, c'est qu'on avance a son rythme. Et les pensées se calquent sur nos pas. On devient comme en hypnose. Disponible par moments à son rythme intérieur et par d'autres à celui de mère nature. On entre alors en symbiose. Dans ces moments, il m'arrive de comparer mes pas, mon chemin aux expériences de la vie. Voici ce qui est monté:
Le sommet:
Pour atteindre le sommet,
on doit d'abord faire le choix de s' aventurer sur le sentier!
Et avoir le courage de persévérer.
On chemine parfois seul,
avec la crainte de ne pas trouver la route,
mais oh combien centré sur ses pas...
libre de tout!
À d'autres moments, on avance accompagné,
partageant les joies et les peines,
s'encourageant,
s'aidant mutuellement
Il nous arrive de suivre les traces d' autres,
heureux qu'ils nous montrent la direction.
Ou alors on ouvre une nouvelle voie,
on innove, on s'aventure...
Il y a les croisées de chemins, faite de doutes, d'incertitudes...
Quelle route emprunter?
Comment savoir si c'est la bonne?
Puis on fait un choix et on l'assume.
Le sommet égal montées...
Qui exigent sueurs et discipline.
Suivies de chemins plats et plus aisés,
où il fait bon soufler, s'apaiser.
On rencontre bien quelques obstacles:
vent, froid, glace, boue, arbre tombé...
Par d'autre choix que de les affronter.
Ça aide d'être bien chaussé et convenablement équipé!
La récompense est là devant:
la satisfaction de la réussite,
le plaisir d'admirer la vue..
Le repos, le silence, après l'effort
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