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lundi 28 février 2011

2ième journée de découvertes


Aujourd'hui , on s'est levé avec un superbe soleil. Il faisait déjà 13 degré a 9h00. On s'est promené tout l'AM les bras à l'air, les verres fumés sur le bout du nez!!! La journée a été plus rushante: plus de déplacements en voiture, de viraillages et de pertes de temps!  Les environs du Pentagon sont un véritable casse-tête! On l'a vu de très près... mais interdit de prendre des photos sous peine de se faire confisquer son appareil.
(meilleure photo du Pentagone, vue du cimetière)

Les Américains ne lésinent pas sur la sécurité!!! On les comprend un peu après le 11 sept. Faute de visiter, on a voulu aller voir le mémorial en l'honneur de victimes des attentats... Mais vraiment très décevant: ça valait pas les précieuses minutes perdues pour se rendre et chercher autour!  Au   moins la visite du cimetière Arlington s'est montré pas mal plus intéressante. C'est fou le nombre de personnes tuées en raison de ces nombreuses guerre auxquelles ont participé nos voisin du sud!

Des pierres tombales blanches et uniformes, en rangées d'oignon,  à perte de vue. On a pu voir l'emplacement des tombes des Kennedy et le monument à l'honneur des soldats disparus! On a même assisté à une petite cérémonie à leur honneur. Très émouvant. 


Puis le vent a tourné: de gros nuages se sont amoncelés dans le ciel: ils annoncaient des risques de tempête... Mais on a eu que de la pluie tout l'PM. On est donc allé visiter un Musé: le Spy Museum.  On y découvrait le matériel ultra miniature des espions, les techniques de déguisement, le cryptage, etc. On s'est bien amusé: les jeunes tout particulièrement! Ensuite un peu de magasinage et retour au Motel (le même qu'hier)  Donc bonne journée encore! Demain, on continue: j'espère que le soleil sera de retour! Prévision: visite du Capitol, musé le l'aviation et de l'espace, Université de Georgetown...
À Suivre!
Carmen

dimanche 27 février 2011

Journée de tourisme bien remplie!!!

 Washington est une belle ville: calme (sauf les klaxons), spacieuse, historique. Mère nature était de notre côté: il a fait soleil la plupart du temps et le mercure doit être monté dans les 15-16 degrés (il faisait 10 vers 17h30) On s'est promenés +++ Je dirais un bon 12-15 km:stationnés vis à vis du  Washington Monument, cet immense obélisque de 168 m de haut tout en marbre blanc, nous avons gravité autour.

 On s'est d'abord rendus au Lincoln Mémorial. J'aurais aimé  m'asseoir sur les genoux de Lincoln, mais on pouvait pas. La piscine célèbre entre les 2 attractions, qu'on a bien vu dans Forest gump, était vidée et l.objet de travaux de rénovation
  Après un petit détour vers Franklin Delano Roosevelt Memorial, on est revenu vers l'obélisque pour notre petite promenade en ascenseurs vers le sommet. On a eu une très belle vue d'ensemble de la région.  Vers 13h00, affamés on s'est dirigé vers Pennsylvania ave. Pas beaucoup de choix de resto abordables dans ce coin de la ville: on s'est rabattu sur un McDo (beurk encore du junk) Ensuite: direction le Capitol, à pied. Comme c'est dimanche: pas de visite: on se reprendra demain.  C'est vraiment grandiose comme édifice avec ses colonnes grecs et son dôme gigantesque. Au retour on arrête a un musée sur la Maison Blanche. On a pu voir une exposition sur l'histoire de cette maison princière , ses célèbres occupants (et occupantes) son décor somptueux... Puis on est allés marcher pour faire le tour de la maison Blanche. On a pu la voir de très près. J,ai questionné un garde: oui, M.Obama y est présent.  Retour tranquillement vers la voiture. Il est 5h30: on a marché tout ce temps. Gabriel s'est trouvé un  chandail-kangourou aux effigies de la ville.
. .On prend la voiture: avant de se rendre a notre chambre de motel, on s'est arrêté au Thomas Jefferson mémorial. Encore une fois: impressionnant et gigantesque. pour les américains cet homme est un symbole de la liberté intellectuelle.  On a quitté sur un début de coucher de soleil.  Le GPS nous a ensuite amené vers un petit motel abordable a quelque km de la ville. Souper, puis on relaxe a notre chambre: je suis brulée et j'ai les jambes en compote, mais la tète remplie de merveilles. Gabriel a décrété qu'il voulait déménager définitivement dans cette région, loin des hivers Québécois!
Demain: on va commencer par le Pentagone et le Harlington national Cimetery, avant d'aller traîner nos savates dans un musé a choisir par les jeunes (Spy Museum ou Nationnal Air and Space Museum).
À date, c'est un très beau voyage: on se rempli les yeux et les poumons d'un aire de printemps. On a même exposé nos bras a un soleil tendre et vitamisant!
Fait cocasse: Benjamin essaye d'écouter et de parler en anglais.  Il a commané lui-même un Mc Flurry au comptoir! Pour nous dire qu.il allait bien dormir il nous a dit: I sleep with a log! Pauvre Gaby: il vient de se faire traiter de buche!
Bon la suite demain (je mettrai des photos à mon retour au Québec!)
Carmen

samedi 26 février 2011

Petite virée à Washington, durant la relâche scolaire

Nous voilà en route pour Washington DC, dans le Maryland, USA. On y sera demain matin, puisqu'on  est seulement à 1h30 de route (On est déjà dans le Maryland).On est partis ce AM (9h00) de St-Hyacinthe,  Yvon, Gabriel, Benjamin et moi. Nico est resté à la maison, puiqu'il travaille au McDo, durant la semaine, et Ge est à Québec: sa sem. de relâche est juste la sem. prochaine. On a 900 km au compteur (chiffre réel puisque l'odomêtre était à 40 km slt au départ, sur la nouvelle JEEP) On a tranquillement laissé l'hivers et la neige derrière nous. Il faisait autour de 3 degrés à notre arrivée au Motel.
On a roulé environ 10h00, arrêtant pour diner et pour souper. On s'est arrêté a la halte Clara Barton (souper). Une affiche racontait sa vie de femme engagée, notamment comme directrice de la Croix Rouge. Faudra que je fasse des recherches a son sujet...ça a piqué ma curiosité!
Actuellement les gars regardent, en anglais le classique "Vol au dessus d'un nid de coucou" C'est beau de les voir suivre un film en anglais.
On a pas encore décidé de l'horaire des visites de demain. On va peut-être commencer avec la maison blanche et le Lincoln mémorial... on verra.

vendredi 25 février 2011

Nouveauté!

Petite journée tranquille en perspective. Repos et préparatifs pour notre petite virée a Washington... Yvon m'amène voir sa trouvaille de magasinage d'hier: il s'était levé en me disant j'ai trouvé mon cadeau defête... et m'avait montrée dans le journal, un solde sur les JEEP. Alors, après un petit déjeuner en tête a tête, on est allé voir sa trouvaile. Avant de quitté, finalement décidé, il a signé le contract. Et puis comme une des réduction risquait de prendre fin le 28 fév, il devait prendre possession, tout de suite. Alors il va le chercher cet PM... Demain on va donc monter a washington en Patriot! Ce sera assurément plus confortable que ma petite Yaris (mais plus couteux en essence)...Benjamin va être fou de joie!.


Petite journée, mais grosse dépense!!!
Ma journée a aussi servit a terminer mon application pour le poste cadre.... Advienne que pourra.... Je le poste avant de partir demain!

mercredi 23 février 2011

Circulation d'énergies

Ma collègue Anne-Sophie disait, avant de se rendre chez un client difficile: Bénie-le, avant d'entrer! On se disait alors: pourquoi pas, j'ai rien a perdre! Hier soir j'ai pensé à elle lors de l'exercice proposé par les animateurs d'une rencontre de pratique CNV. On travaillait sur nos sentiments qui sont la clé d'accès â nos besoins. L'exercice consistait à s'installer 2 par 2, debout face à face. Un des 2 partenaire portait un bandeau. L'autre s'approchait chargé d'un intension (ou émotion), sans dire un mot. Après quelques minues d'immobilité, d'intériorité , celui qui avait un bandeau exprimait son ressenti: ses sensations corporelles, les émotions qui montaient....  Puis l'autre prenait la parole, exprimait a son tour son ressenti, ayant pris soin de se mettre à l'écoute de son corps. Enfin, suite à ces paroles, le participant portant le bandeau reprenait, pour livrer son nouvel état afectif.
J'ai pu voir et ressentir le transfert d'énergie entre moi et une autre participante.  C'était assez génial! Devant l'expression de tensions de ma partenaire, j'ai ouvert les mains, et émis une intension d'acceuil et de détente. Lorsqu'elle a repris la parole, celle-ci a dit ressentir de l'ouverture et de l'apaisement!!! J,ai aussi pu ressentir en moi l'installation d'une détente, alors que c'était à mon tour d'avoir les yeux bandés, après avoir entendu et ressenti chez l'autre une disponibilité et une présence. J'ai donc pu sentir que dans un face a face (ou en groupe) l'attitude, l'intension, les émotions de l'autre sont captées par notre corps, et vice et versa...Alors si au cous d'un entretient, on est irrité. ou apeuré, qu'on l'avoue ou pas, qu'on tente de le camoufler, l'autre le percevra par ses antennes corporelles (son plexus sans doute) C'est assez allucination comme découverte... Alors, je sais maintenant que dans des situations difficiles avec des clients, quand ils sont anxieux, je peux, juste par l'intension de les rassurer que je mets dans mes énergies, réussir a contribuer a un certain appaisement... Sans doute que je le faisait un peu inconsciemment, mais la je peux aussi en rajouter consciemment! Wow! C'est puissant! C'est, à mon avis, ce qui se cache derrière ton truc, Anne-Sophie! Bravo!
Carmen

vendredi 18 février 2011

Croisée de chemins!

Il y a quelques années Lise Bernard, directrice du MAD m'a demandé si je voulais remplacer ma chef de programme, Marthe, qui partait en maladie. Étonnée, j'ai fini par accepter, et j'ai aimé ça. Dans les années qui ont suivi j'ai eu l'occasion de faire quelques remplacements. J'ai eu la piqûre... J'ai alors cru que se dessinait devant moi mon plan de carrière. Alors j'ai décidé de me former: d'abord un certificat en gestion des ressources humaines, puis un microprogramme de 2ieme cycle en  gestion des organisations. Puis est venu la douche froide: le nouveau poste d'assistante est donné a une autre personne. On m'explique alors, qu'ils recherchaient quelqu'un de différent de mon profil, pour appuyer Marthe. Que mon style de gestion était trop semblable au sien... J'ai pris ça très dur. Puis sont arrivés les nouveaux patrons, suite a la retraite de Marthe et de la fusion des établissements. Nouvelle équipe débarquée avec une approche plus coercitive, directement du centre d'hébergement.. Et là la dégringolade s'est accentuée. Habitués a gérer du personnel soignant et de mener les troupes au bâton, ils n'ont pas su s'ajuster a une équipe de professionnels qui souhaite participer aux décisions, s'impliquer, être concerté... Comme bien d'autres leaders, j'ai été mis sur la voie de garage. On me voulait performante, exécutante, docile... On m'a enlevé tous mes comités et on a renié mes talents d'organisateur, de chef d'équipe.... Ils ont voulu m'écraser comme une punaise. J'ai alors  décidé de de changer d'emplois, après 20 ans d'intense implication...Ça a été la pire période de ma vie professionnelle .Mais ça c'est le passé. Après coup, je peux voir que ce départ était nécessaire, pour avoir la chance de vivre une nouvelle expérience, dans un nouveau milieu, avec de merveilleux nouveaux collègues.

Ça fait maintenant 2 ans(aujourd'hui) que je travaille à l'hôpital. J'ai choisi cet emploi pour le défi que ça représentait , de redémarrer le service d'ergothérapie. Ma longue expérience en CLSC et mon leadership ont été de solides base pour ce travail.. Je m'y suis rapidement adapté, et j'ai pu  me bâtir une excellente réputation.  J,ai reçu reconnaissance et confiance tant de mes patrons que de mes collègues de travail.  Et voilà que l'option de la gestion se présente a nouveau. Pas un mais 2 postes de cadre intermédiaires, dans le domaine de la réadaptation, se libèrent. Alors voilà que je me repose les mêmes questions qu'il y a 4-5 ans. Serais-je heureuse dans le rôle d'un gestionnaire? Est-ce que c'est vraiment ce que je souhaites comme plan de carrière? Pour quel motif, fondamentalement, je prendrais ce chemin? Pour satisfaire mon ego ou pour me donner des occasions de réalisation? En quoi je me réaliserais plus dans ce type de travail que dans mon travail professionnel?   Je sais que le travail d'un cadre intermédiaire est souvent difficile, chargé, inconfortable entre les exigences des supérieurs et les demandes des subalternes... Je saurai trouver mon équilibre dans ce monde vorace?  Je ne doute pas de mes compétences, pour relever le défi.... en fait je carbure aux défis!!! Mais est-ce que c'est ce que je veux vraiment? Est-ce la voie tracée pour moi?
Je crois aux signes de la vie et à la synchronicité....  Ce n'est pas pour rien que j'ai a nouveau cette option devant moi, ce n'est pas pour rien que j'ai fait de la formation en gestion.... Et ce n'est pas pour rien que ma rencontre avec mon patron, remise plusieurs fois, a lieu précisément la veille de la libération du poste en question.... Et que durant cette rencontre, il sonde mon intérêt a appliquer sur un poste cadre et m'assure qu'il me verrai bien a ce poste....
Qu'est-ce que j'ai a perdre d'appliquer sur ce poste? Une petite baffe à mon ego si je l'obtenais pas?... C'est a l'entrevue que je pourrais en savoir plus: puis-je faire une période d'essai et garder mon poste syndiqué en attendant? Pourquoi l'ancien titulaire a été congédié? Qu'attendent-ils du remplaçant?  Quelle genre d'équipe (s) j'aurais à gérer? Quels sont les principaux défis? Quel genre d'appui, de support je pourrais recevoir?
Bon je continue ma réflexion.... D'écrire ces lignes m'aide à clarifier mes idées... À suivre....!
Carmen

jeudi 10 février 2011

Paroles responsabilisantes!

Un psychologue, dont le nom m'a échappé (je l'ajouterai si je le retrouve)., parlait ce AM, au 107,3 d'une conférence qu'il donnait, sur les couples. Il expliquait entre autre que l'enjeu des couples qui cxonsultent, traite des difficultés de communication. Mais avant tout ce qui m'a accroché le plus quand il a dit: L'autre n'est que l'occasion, il n'est jamais la cause!!!! Il parlait alors de la responsabilité qu'on doit développer envers l'identification et la réponse à nos besoins! Il doit sûrement connaître la CNV! C,est exactement ce dont j'ai pris conscience et que je traite dans mon blog précédent, a propos de ma mère! Depuis ce jour, un grand calme m'habite par rapport a cette relation... Je porte aussi fidèlement mon symbole intégrateur!

Pour Gabriel, ça se replace un peu. Après un 12 heures de douleur, on lui a trouvé une médication plus efficace (Ibuprofène). Comme il commençait un rhume en même temps, il a pris un jour de congé d'école mercredi. Et vu son état, en fin de journée, on a aussi pris une pause de clé. Aujourd'hui, il a passé une bonne journée, et on a repris les séances de torture: mais on appris: il a pris une bonne dose de médicament 20 min avant  le tour de clé: ça a fait mal, mais l'effet était moins intense, quelques minutes après. Il se montre très brave: je suis fière de mon grand! Et on travaille fort pour qu.il ait envie de manger à sa faim: paté chinois, macaroni, poutine... en plus des laits protéinés...

Carmen

mardi 8 février 2011

Séance de torture, moderne!

On est en 2011 et la torture existe toujours! Et aujourd'hui j'ai été le bourreau! En tout cas je m'en suis fait l'effet. Mon fils de 15 ans s'est fait installer un écarteur palatin hier en PM. Ses dents sont très mal placées dans sa bouche en raison de mâchoires trop étroites. Alors ils ont mis dans sa bouche un appareil fait de 2 pièces mobiles rattachées par une vis sans fin . Tous les soirs nous devons faire pivoter cette vis d'un demi tour, à l'aide d'une minuscule clé. Hier, ça c'était bien passé puisse qu'on passait d'une pression 0, à une première pression sur ses dents et mâchoire. Mais ce soir... ouch. Après un premier 24 heure d'encombrement dans sa bouche et de pression, on actionnait un 2ième tour de vis. Cette fois-ci on partait d'une bouche déjà douloureuse!!! J'ai vite compris que mon pauvre Gabriel ne feignait pas. Ça lui a fait vraiment mal, et j'en étais désolée. Il s'est réfugié dans sa chambre, où après lui avoir laissé un moment de tranquilité, je suis allé le rejoindre avec notre chien Papou. Là je nétais plus le bourreau mais la mère aimante. Je me suis couché près de lui et nous avons ensemble caliné le chien. J'ai tenté de le rassurer.... Mais on devra quand même faire 36 tours de clé!!!  Ouf...
Une maman bien triste de voir souffrir son grand garçon!

Atelier de CNV

Dimanche 7 février, 7h00: je me lève au lendemain d'une tempête de neige (encore une)... Vivement de déneiger l'entrée de cour, pour mon départ pour Montréal, avant que repasse la charrue... C'est mon premier atelier de pratique de CNV. C'est avec de la curiosité, de l'ouverture, mais aussi un petit stress relié à l'effet d'inconnu tant dans le déroulement que dans le trajet, que je m'y rend.
Et je n'ai été  nullement déçue. 3 animatrices très compétentes nous ont acceuillis, moi et 28 autres participants. Elles nous ont proposé de pratiquer le reformulation: celle qu'on peut utiliser pour offrir une écoute empathique à l'autre (refléter ses émotions, suggérer des besoins sous-jacents) ou encore vérifier comment l'autre a reçu notre demande, en lui demandant de reformuler....  Lors d'un jeu de rôle, avec une autre participante, devant les paroles d'amour qu'elle pratiquait a adresser à un de ses proches, j'ai fondu en larmes: j'entendais de sa bouche les paroles et les sentiments que j'attends depuis si longtemps...Ces paroles qui te touchent droit au coeur, des paroles d'un amour indéflexible, immuable... celles dont je dois faire le deuil. De ma petite équipe de travail, j'ai reçu écoute et empathie... Puis en jasant (clavardant) avec mon amie Monique j'ai compris une chose importante. Comme on l'a appris dans la formation, on est responsable de nos besoins. Identifier nos émotions et découvrir les besoins sous-jacents, est un apprentissage en soit. Puis une fois ce besoin identifié, il m'appartient d'y répondre. Pour ce je dois apprendre à faire des demandes, mais l'autre n'est jamais obligé d'accepter d'y répondre. L'autre est souverain dans ses choix. Alors je ne peux exiger de ma mère de répondre à mon besoin d'amour et d'acceuil. Je ne peux dépendre d'elle pour la réponse a mon besoin...
Mais auprès de qui puisje faire ces demandes: mes amis, ma famille??? Moi-même? Et si  mon besoin est  si fondamental que ces sources ne suffisent pas? Il y a quelques années, lors d'une imagerie mentale, j'ai eu le bonheur de goûter à l'amour inconditionnel, provenant d'une source divine (expérience sommet). Cette source, dans mon imagerie, elle était symbolisée par Marie, la mère de Jésus.  Alors ce matin, j'ai ressorti mon médaillon de Marie, que je porte sur moi, afin qu'il me garde en contact avec cette énergie divine... Je sais que je m'engage sur le chemin de la guérison, de la résolution de mon deuil, du lâcher prise! Ouf!
Génial, pour un premier atelier!
Merci la CNV, merci Monique
Carmen